Une humanité qui déjante.
Je me suis enivré des mythes.
Buvant leur sang sans limites.
J’ai lu les grimoires et leurs déboires.
J’ai marché dans la forêt sans rien voir.
Les manuscrits sont usés,
faits de vieux papiers.
Je marche sur l’émotion
d’une géographie sans dimensions.
L’arc en ciel médite,
par un vitrail de bakélite.
La farce du cocu danse,
les Vosges fêtent la transhumance.
Autour du feu, les morts me parlent.
Ils me disent que le monde est aux vivants,
et que nul besoin qu’ils hantent
une humanité , qui seule, déjante.
Loïc ROUSSELOT
Je me suis enivré des mythes.
Buvant leur sang sans limites.
J’ai lu les grimoires et leurs déboires.
J’ai marché dans la forêt sans rien voir.
Les manuscrits sont usés,
faits de vieux papiers.
Je marche sur l’émotion
d’une géographie sans dimensions.
L’arc en ciel médite,
par un vitrail de bakélite.
La farce du cocu danse,
les Vosges fêtent la transhumance.
Autour du feu, les morts me parlent.
Ils me disent que le monde est aux vivants,
et que nul besoin qu’ils hantent
une humanité , qui seule, déjante.
Loïc ROUSSELOT