L’aurore boréale de ta Splendeur
Je marche parmi les clairières des forêts
vers le Soleil de ta Lumière,
toi qui sais l’étendue de mon amour,
délivre-moi des lais de douceur,
vers le Soleil de ta Lumière,
toi qui sais l’étendue de mon amour,
délivre-moi des lais de douceur,
alors que se lève au loin
l’aurore boréale de ta Splendeur,
entrebâille l’orée de tes bras qui sommeillent,
je t’en conjure,
l’aurore boréale de ta Splendeur,
entrebâille l’orée de tes bras qui sommeillent,
je t’en conjure,
je veux me nicher
en l’urne de tes flancs,
là où
naît l’alphabet de ta délicatesse,
permets-moi de te louer
et de te vénérer en mes odes,
moi qui ne suis rien
sans les syllabes de tes mots.
en l’urne de tes flancs,
là où
naît l’alphabet de ta délicatesse,
permets-moi de te louer
et de te vénérer en mes odes,
moi qui ne suis rien
sans les syllabes de tes mots.
Revêts-moi encore de l’encens de tes rires,
oins-moi du Soleil de ton Amour
dès que je flâne
par les rivages des bocages,
oins-moi du Soleil de ton Amour
dès que je flâne
par les rivages des bocages,
glane l’aurore des ciels d’azur
qui éclot
par delà les strophes de tes quatrains,
par delà les mousses des nuages.
qui éclot
par delà les strophes de tes quatrains,
par delà les mousses des nuages.
Prends-moi en tes paumes,
berce-moi dessus les vallons,
et face aux paroisses du printemps,
écrivons le psaume de notre Tendresse !
berce-moi dessus les vallons,
et face aux paroisses du printemps,
écrivons le psaume de notre Tendresse !
Sophie Rivière