J'ai connu des hommes, à en sourire , à en pleurer,
J'ai fait le tour de leur Amour, je me suis lassée,
Oh! pas de leur coeur, ni de leur âme, mais de leur corps,
Je saturais, je répétais la même fable avec un tout
Qui se ressemblait, je n'aime ni le poncif, ni l'obligation,
Est-ce que je vibrais ? j'étais loin de la dite perfection.
Eux , les plus beaux , les plus forts , Le meilleur en amour ,
Je me taisais , devant leur virilité en compétition
Pour être honnête, des jeux de passes, des rations ,
Bouche, mains, sexe, de l' ordinaire balourd,
Qui n'a pas connu l'extase ? je suis Le premier
Foi de Marc , Paul, Jean à te faire décoller !
Un matin, j'ai tout jeté, et bien dans mes souliers,
Sans surmenage , sans câlins contrariés ,
Une tranquillité d'esprit qui te rend ta liberté ,
Et puis ..tu es passé, tu as passé la tête à ma porte,
Un regard en plein front, un éclair qui transporte
A des années lumières, Où étais -je? je l'ignorais.
Un sourire a consolidé le rapprochement,
Un mot ...bien appris .j'acceptais le verre qui allie ,
Une galanterie d'une courtoisie savante ,sans flatterie,
Un partage heureux somme toute que ce moment,
De l'humour en ricochets à notre conversation,
Tu étais attirant ...et j'ai testé le drap de caution .
Deux peaux de corps qui s'imbriquaient dans un bain
De bulles successives ,aériennes sur un nuage angevin,
Attentives au moindre geste, des mains caresses,
Nous restions au baldaquin scellés au jour en liesse ,
Comme toi, je ne veux que toi, nous nous satisfaisons,
Au ruban du destin de nos deux vies en émigration......
J'ai fait le tour de leur Amour, je me suis lassée,
Oh! pas de leur coeur, ni de leur âme, mais de leur corps,
Je saturais, je répétais la même fable avec un tout
Qui se ressemblait, je n'aime ni le poncif, ni l'obligation,
Est-ce que je vibrais ? j'étais loin de la dite perfection.
Eux , les plus beaux , les plus forts , Le meilleur en amour ,
Je me taisais , devant leur virilité en compétition
Pour être honnête, des jeux de passes, des rations ,
Bouche, mains, sexe, de l' ordinaire balourd,
Qui n'a pas connu l'extase ? je suis Le premier
Foi de Marc , Paul, Jean à te faire décoller !
Un matin, j'ai tout jeté, et bien dans mes souliers,
Sans surmenage , sans câlins contrariés ,
Une tranquillité d'esprit qui te rend ta liberté ,
Et puis ..tu es passé, tu as passé la tête à ma porte,
Un regard en plein front, un éclair qui transporte
A des années lumières, Où étais -je? je l'ignorais.
Un sourire a consolidé le rapprochement,
Un mot ...bien appris .j'acceptais le verre qui allie ,
Une galanterie d'une courtoisie savante ,sans flatterie,
Un partage heureux somme toute que ce moment,
De l'humour en ricochets à notre conversation,
Tu étais attirant ...et j'ai testé le drap de caution .
Deux peaux de corps qui s'imbriquaient dans un bain
De bulles successives ,aériennes sur un nuage angevin,
Attentives au moindre geste, des mains caresses,
Nous restions au baldaquin scellés au jour en liesse ,
Comme toi, je ne veux que toi, nous nous satisfaisons,
Au ruban du destin de nos deux vies en émigration......